Célébrer Nos Figures Maternelles
Célébrer Nos Figures Maternelles
À l'occasion de la Fête des Mères, les membres de l'équipe DeMellier partagent leurs souvenirs précieux, leurs leçons et les inspirations que leur ont offertes leurs figures maternelles.


Eefje, Directrice de la Création
Eefje, Directrice de la Création
Quel est le nom de votre grand-mère ?
Annie Frankenhuis-Cohen
Quelle est son histoire ?
Ma grand-mère, Annie, grandit comme fille d'agriculteur dans le nord des Pays-Bas. Sa mère mourut jeune, obligeant les quatre filles à aider à la ferme. Mon arrière-grand-père remarqua ses talents en mathématiques et lui enseigna la comptabilité.
Dans sa vingtaine, ma grand-mère rencontra son époux Sam et s'installa à Amsterdam, où Sam tenait une petite boutique de salles de bains. Elle s'occupa de la comptabilité et ils ouvrirent un second magasin tout en élevant leur premier enfant, Joop. Au début des années 1930, Sam tomba gravement malade et mourut rapidement. Au chevet de son mari, ma grand-mère promit de poursuivre l'entreprise qu'ils avaient bâtie ensemble. Elle n'avait que 23 ans : veuve, mère célibataire, à la tête de deux commerces, alors que l'antisémitisme gagnait les Pays-Bas et l'Europe.
Elle déplaça l'entreprise à l'est des Pays-Bas, où elle disposait d'un solide réseau. Avec la croissance, elle eut besoin d'une équipe plus importante et chercha un responsable des achats et des ventes, rencontrant alors Eduard, mon grand-père, l'amour de sa vie. Juste avant la Seconde Guerre mondiale, ils se marièrent en secret, le mariage juif étant interdit par les Allemands. Pour accroître leurs chances de survie, ils se cachèrent à la campagne, loin de leurs fils, hébergés dans des familles chrétiennes. Ma grand-mère souffrait terriblement de leur absence et pédalait la nuit, munie de faux papiers, durant plusieurs heures pour les voir, au risque d'être découverte et déportée.
Après la guerre, les temps furent difficiles. Mes grands-parents furent réunis avec leurs fils. L'entreprise avait été entièrement pillée par les Allemands, qui avaient saisi leur domicile d'origine et refusaient de partir. Mon grand-père dut littéralement les chasser, la police restant très antisémite après la libération et refusant d'intervenir.
Annie perçut immédiatement une opportunité dans ce pays dévasté ; les maisons devaient être reconstruites et les habitants avaient besoin de nouvelles salles de bains, malgré la pénurie de matériaux. Elle contacta les principaux architectes et administrations municipales, concluant d'importants contrats pour des projets de construction. Avec mon grand-père Eduard, elle dirigea cette entreprise en pleine expansion, offrant un emploi à plusieurs centaines de personnes.
Après la guerre, ils eurent deux fils et une fille. Ma grand-mère, passionnée d'art, de musique et de mode, soutenait toujours les jeunes artistes et musiciens, arborant des tenues de haute couture. Elle s'engagea également dans de nombreuses œuvres caritatives, fondant un foyer pour personnes âgées juives dans sa ville natale. Elle accueillit aussi des réfugiés chez elle, principalement des musiciens classiques, qu'elle aida à reconstruire leur carrière aux Pays-Bas. Pour ses efforts, elle fut anoblie par la Reine des Pays-Bas.
Annie Frankenhuis-Cohen
Quelle est son histoire ?
Ma grand-mère, Annie, grandit comme fille d'agriculteur dans le nord des Pays-Bas. Sa mère mourut jeune, obligeant les quatre filles à aider à la ferme. Mon arrière-grand-père remarqua ses talents en mathématiques et lui enseigna la comptabilité.
Dans sa vingtaine, ma grand-mère rencontra son époux Sam et s'installa à Amsterdam, où Sam tenait une petite boutique de salles de bains. Elle s'occupa de la comptabilité et ils ouvrirent un second magasin tout en élevant leur premier enfant, Joop. Au début des années 1930, Sam tomba gravement malade et mourut rapidement. Au chevet de son mari, ma grand-mère promit de poursuivre l'entreprise qu'ils avaient bâtie ensemble. Elle n'avait que 23 ans : veuve, mère célibataire, à la tête de deux commerces, alors que l'antisémitisme gagnait les Pays-Bas et l'Europe.
Elle déplaça l'entreprise à l'est des Pays-Bas, où elle disposait d'un solide réseau. Avec la croissance, elle eut besoin d'une équipe plus importante et chercha un responsable des achats et des ventes, rencontrant alors Eduard, mon grand-père, l'amour de sa vie. Juste avant la Seconde Guerre mondiale, ils se marièrent en secret, le mariage juif étant interdit par les Allemands. Pour accroître leurs chances de survie, ils se cachèrent à la campagne, loin de leurs fils, hébergés dans des familles chrétiennes. Ma grand-mère souffrait terriblement de leur absence et pédalait la nuit, munie de faux papiers, durant plusieurs heures pour les voir, au risque d'être découverte et déportée.
Après la guerre, les temps furent difficiles. Mes grands-parents furent réunis avec leurs fils. L'entreprise avait été entièrement pillée par les Allemands, qui avaient saisi leur domicile d'origine et refusaient de partir. Mon grand-père dut littéralement les chasser, la police restant très antisémite après la libération et refusant d'intervenir.
Annie perçut immédiatement une opportunité dans ce pays dévasté ; les maisons devaient être reconstruites et les habitants avaient besoin de nouvelles salles de bains, malgré la pénurie de matériaux. Elle contacta les principaux architectes et administrations municipales, concluant d'importants contrats pour des projets de construction. Avec mon grand-père Eduard, elle dirigea cette entreprise en pleine expansion, offrant un emploi à plusieurs centaines de personnes.
Après la guerre, ils eurent deux fils et une fille. Ma grand-mère, passionnée d'art, de musique et de mode, soutenait toujours les jeunes artistes et musiciens, arborant des tenues de haute couture. Elle s'engagea également dans de nombreuses œuvres caritatives, fondant un foyer pour personnes âgées juives dans sa ville natale. Elle accueillit aussi des réfugiés chez elle, principalement des musiciens classiques, qu'elle aida à reconstruire leur carrière aux Pays-Bas. Pour ses efforts, elle fut anoblie par la Reine des Pays-Bas.
Quel est le nom de votre grand-mère ?
Annie Frankenhuis-Cohen
Quelle est son histoire ?
Ma grand-mère, Annie, grandit comme fille d'agriculteur dans le nord des Pays-Bas. Sa mère mourut jeune, obligeant les quatre filles à aider à la ferme. Mon arrière-grand-père remarqua ses talents en mathématiques et lui enseigna la comptabilité.
Dans sa vingtaine, ma grand-mère rencontra son époux Sam et s'installa à Amsterdam, où Sam tenait une petite boutique de salles de bains. Elle s'occupa de la comptabilité et ils ouvrirent un second magasin tout en élevant leur premier enfant, Joop. Au début des années 1930, Sam tomba gravement malade et mourut rapidement. Au chevet de son mari, ma grand-mère promit de poursuivre l'entreprise qu'ils avaient bâtie ensemble. Elle n'avait que 23 ans : veuve, mère célibataire, à la tête de deux commerces, alors que l'antisémitisme gagnait les Pays-Bas et l'Europe.
Elle déplaça l'entreprise à l'est des Pays-Bas, où elle disposait d'un solide réseau. Avec la croissance, elle eut besoin d'une équipe plus importante et chercha un responsable des achats et des ventes, rencontrant alors Eduard, mon grand-père, l'amour de sa vie. Juste avant la Seconde Guerre mondiale, ils se marièrent en secret, le mariage juif étant interdit par les Allemands. Pour accroître leurs chances de survie, ils se cachèrent à la campagne, loin de leurs fils, hébergés dans des familles chrétiennes. Ma grand-mère souffrait terriblement de leur absence et pédalait la nuit, munie de faux papiers, durant plusieurs heures pour les voir, au risque d'être découverte et déportée.
Après la guerre, les temps furent difficiles. Mes grands-parents furent réunis avec leurs fils. L'entreprise avait été entièrement pillée par les Allemands, qui avaient saisi leur domicile d'origine et refusaient de partir. Mon grand-père dut littéralement les chasser, la police restant très antisémite après la libération et refusant d'intervenir.
Annie perçut immédiatement une opportunité dans ce pays dévasté ; les maisons devaient être reconstruites et les habitants avaient besoin de nouvelles salles de bains, malgré la pénurie de matériaux. Elle contacta les principaux architectes et administrations municipales, concluant d'importants contrats pour des projets de construction. Avec mon grand-père Eduard, elle dirigea cette entreprise en pleine expansion, offrant un emploi à plusieurs centaines de personnes.
Après la guerre, ils eurent deux fils et une fille. Ma grand-mère, passionnée d'art, de musique et de mode, soutenait toujours les jeunes artistes et musiciens, arborant des tenues de haute couture. Elle s'engagea également dans de nombreuses œuvres caritatives, fondant un foyer pour personnes âgées juives dans sa ville natale. Elle accueillit aussi des réfugiés chez elle, principalement des musiciens classiques, qu'elle aida à reconstruire leur carrière aux Pays-Bas. Pour ses efforts, elle fut anoblie par la Reine des Pays-Bas.
Annie Frankenhuis-Cohen
Quelle est son histoire ?
Ma grand-mère, Annie, grandit comme fille d'agriculteur dans le nord des Pays-Bas. Sa mère mourut jeune, obligeant les quatre filles à aider à la ferme. Mon arrière-grand-père remarqua ses talents en mathématiques et lui enseigna la comptabilité.
Dans sa vingtaine, ma grand-mère rencontra son époux Sam et s'installa à Amsterdam, où Sam tenait une petite boutique de salles de bains. Elle s'occupa de la comptabilité et ils ouvrirent un second magasin tout en élevant leur premier enfant, Joop. Au début des années 1930, Sam tomba gravement malade et mourut rapidement. Au chevet de son mari, ma grand-mère promit de poursuivre l'entreprise qu'ils avaient bâtie ensemble. Elle n'avait que 23 ans : veuve, mère célibataire, à la tête de deux commerces, alors que l'antisémitisme gagnait les Pays-Bas et l'Europe.
Elle déplaça l'entreprise à l'est des Pays-Bas, où elle disposait d'un solide réseau. Avec la croissance, elle eut besoin d'une équipe plus importante et chercha un responsable des achats et des ventes, rencontrant alors Eduard, mon grand-père, l'amour de sa vie. Juste avant la Seconde Guerre mondiale, ils se marièrent en secret, le mariage juif étant interdit par les Allemands. Pour accroître leurs chances de survie, ils se cachèrent à la campagne, loin de leurs fils, hébergés dans des familles chrétiennes. Ma grand-mère souffrait terriblement de leur absence et pédalait la nuit, munie de faux papiers, durant plusieurs heures pour les voir, au risque d'être découverte et déportée.
Après la guerre, les temps furent difficiles. Mes grands-parents furent réunis avec leurs fils. L'entreprise avait été entièrement pillée par les Allemands, qui avaient saisi leur domicile d'origine et refusaient de partir. Mon grand-père dut littéralement les chasser, la police restant très antisémite après la libération et refusant d'intervenir.
Annie perçut immédiatement une opportunité dans ce pays dévasté ; les maisons devaient être reconstruites et les habitants avaient besoin de nouvelles salles de bains, malgré la pénurie de matériaux. Elle contacta les principaux architectes et administrations municipales, concluant d'importants contrats pour des projets de construction. Avec mon grand-père Eduard, elle dirigea cette entreprise en pleine expansion, offrant un emploi à plusieurs centaines de personnes.
Après la guerre, ils eurent deux fils et une fille. Ma grand-mère, passionnée d'art, de musique et de mode, soutenait toujours les jeunes artistes et musiciens, arborant des tenues de haute couture. Elle s'engagea également dans de nombreuses œuvres caritatives, fondant un foyer pour personnes âgées juives dans sa ville natale. Elle accueillit aussi des réfugiés chez elle, principalement des musiciens classiques, qu'elle aida à reconstruire leur carrière aux Pays-Bas. Pour ses efforts, elle fut anoblie par la Reine des Pays-Bas.
Mes grands-parents formaient un couple puissant, se complétant parfaitement, partageant un humour exceptionnel et un amour jusqu'au bout. Elle a vécu jusqu'à l'âge impressionnant de 96 ans, laissant derrière elle cinq enfants et dix-neuf petits-enfants.
Quelles leçons votre grand-mère vous a-t-elle transmises ?
Gardez toujours le regard tourné vers l'avenir, quelles que soient les épreuves, des jours lumineux vous attendent.
En quoi votre grand-mère est-elle une source d'inspiration pour vous et pour les autres ?
Femme d'affaires et entrepreneure exceptionnelle pour son époque, elle fut un modèle pour moi, ma famille et les nombreux employés de l'entreprise. Ce que j'admire chez elle, c'est qu'elle a tout accompli en tant que PDG d'une grande société et mère dévouée de cinq enfants, engagée pour la communauté juive et les créatifs.
Elle a inspiré, y compris moi-même, à percevoir la joie et la beauté dans les arts et la mode. Elle s'était créée un univers splendide, une grande maison emplie d'art moderne et d'antiquités. Toujours impeccablement vêtue, prête à célébrer. Ce monde magique organisait sans cesse concerts et conférences chez elle, dîners aux tables magnifiquement dressées, fêtes joyeuses et vacances en famille. J'aimais aussi sa passion sportive : l'équitation, le ski, la conduite, tout en conservant son élégance de « dame ».
Après son départ, elle a fait don de son corps à la science. Après la cérémonie, nous nous sommes réunis dans sa maison d'autrefois, où sa meilleure amie avait organisé un grand dîner pour tous les enfants et petits-enfants, dressant la table exactement comme ma grand-mère l'aurait fait. Avec une magnifique nappe damassée, de la porcelaine, des fleurs et des couverts en argent. Je me souviens que nous racontions tous des anecdotes sur elle, une véritable personnalité, et que nous avons ri et pleuré tant ; c'était d'une beauté saisissante, et j'aurais voulu m'envelopper dans cet instant pour l'éternité. J'ai décidé de dédier ma collection de fin d'études à ce moment, créant littéralement des vêtements à partir de l'ancienne nappe, de la garde-robe et des couverts de ma grand-mère. Je ne serais pas là où je suis aujourd'hui sans mon incroyable grand-mère.
Dites-nous un mot qui, selon vous, décrit votre grand-mère.
Forte
Quelles leçons votre grand-mère vous a-t-elle transmises ?
Gardez toujours le regard tourné vers l'avenir, quelles que soient les épreuves, des jours lumineux vous attendent.
En quoi votre grand-mère est-elle une source d'inspiration pour vous et pour les autres ?
Femme d'affaires et entrepreneure exceptionnelle pour son époque, elle fut un modèle pour moi, ma famille et les nombreux employés de l'entreprise. Ce que j'admire chez elle, c'est qu'elle a tout accompli en tant que PDG d'une grande société et mère dévouée de cinq enfants, engagée pour la communauté juive et les créatifs.
Elle a inspiré, y compris moi-même, à percevoir la joie et la beauté dans les arts et la mode. Elle s'était créée un univers splendide, une grande maison emplie d'art moderne et d'antiquités. Toujours impeccablement vêtue, prête à célébrer. Ce monde magique organisait sans cesse concerts et conférences chez elle, dîners aux tables magnifiquement dressées, fêtes joyeuses et vacances en famille. J'aimais aussi sa passion sportive : l'équitation, le ski, la conduite, tout en conservant son élégance de « dame ».
Après son départ, elle a fait don de son corps à la science. Après la cérémonie, nous nous sommes réunis dans sa maison d'autrefois, où sa meilleure amie avait organisé un grand dîner pour tous les enfants et petits-enfants, dressant la table exactement comme ma grand-mère l'aurait fait. Avec une magnifique nappe damassée, de la porcelaine, des fleurs et des couverts en argent. Je me souviens que nous racontions tous des anecdotes sur elle, une véritable personnalité, et que nous avons ri et pleuré tant ; c'était d'une beauté saisissante, et j'aurais voulu m'envelopper dans cet instant pour l'éternité. J'ai décidé de dédier ma collection de fin d'études à ce moment, créant littéralement des vêtements à partir de l'ancienne nappe, de la garde-robe et des couverts de ma grand-mère. Je ne serais pas là où je suis aujourd'hui sans mon incroyable grand-mère.
Dites-nous un mot qui, selon vous, décrit votre grand-mère.
Forte
Mes grands-parents formaient un couple puissant, se complétant parfaitement, partageant un humour exceptionnel et un amour jusqu'au bout. Elle a vécu jusqu'à l'âge impressionnant de 96 ans, laissant derrière elle cinq enfants et dix-neuf petits-enfants.
Quelles leçons votre grand-mère vous a-t-elle transmises ?
Gardez toujours le regard tourné vers l'avenir, quelles que soient les épreuves, des jours lumineux vous attendent.
En quoi votre grand-mère est-elle une source d'inspiration pour vous et pour les autres ?
Femme d'affaires et entrepreneure exceptionnelle pour son époque, elle fut un modèle pour moi, ma famille et les nombreux employés de l'entreprise. Ce que j'admire chez elle, c'est qu'elle a tout accompli en tant que PDG d'une grande société et mère dévouée de cinq enfants, engagée pour la communauté juive et les créatifs.
Elle a inspiré, y compris moi-même, à percevoir la joie et la beauté dans les arts et la mode. Elle s'était créée un univers splendide, une grande maison emplie d'art moderne et d'antiquités. Toujours impeccablement vêtue, prête à célébrer. Ce monde magique organisait sans cesse concerts et conférences chez elle, dîners aux tables magnifiquement dressées, fêtes joyeuses et vacances en famille. J'aimais aussi sa passion sportive : l'équitation, le ski, la conduite, tout en conservant son élégance de « dame ».
Après son départ, elle a fait don de son corps à la science. Après la cérémonie, nous nous sommes réunis dans sa maison d'autrefois, où sa meilleure amie avait organisé un grand dîner pour tous les enfants et petits-enfants, dressant la table exactement comme ma grand-mère l'aurait fait. Avec une magnifique nappe damassée, de la porcelaine, des fleurs et des couverts en argent. Je me souviens que nous racontions tous des anecdotes sur elle, une véritable personnalité, et que nous avons ri et pleuré tant ; c'était d'une beauté saisissante, et j'aurais voulu m'envelopper dans cet instant pour l'éternité. J'ai décidé de dédier ma collection de fin d'études à ce moment, créant littéralement des vêtements à partir de l'ancienne nappe, de la garde-robe et des couverts de ma grand-mère. Je ne serais pas là où je suis aujourd'hui sans mon incroyable grand-mère.
Dites-nous un mot qui, selon vous, décrit votre grand-mère.
Forte
Quelles leçons votre grand-mère vous a-t-elle transmises ?
Gardez toujours le regard tourné vers l'avenir, quelles que soient les épreuves, des jours lumineux vous attendent.
En quoi votre grand-mère est-elle une source d'inspiration pour vous et pour les autres ?
Femme d'affaires et entrepreneure exceptionnelle pour son époque, elle fut un modèle pour moi, ma famille et les nombreux employés de l'entreprise. Ce que j'admire chez elle, c'est qu'elle a tout accompli en tant que PDG d'une grande société et mère dévouée de cinq enfants, engagée pour la communauté juive et les créatifs.
Elle a inspiré, y compris moi-même, à percevoir la joie et la beauté dans les arts et la mode. Elle s'était créée un univers splendide, une grande maison emplie d'art moderne et d'antiquités. Toujours impeccablement vêtue, prête à célébrer. Ce monde magique organisait sans cesse concerts et conférences chez elle, dîners aux tables magnifiquement dressées, fêtes joyeuses et vacances en famille. J'aimais aussi sa passion sportive : l'équitation, le ski, la conduite, tout en conservant son élégance de « dame ».
Après son départ, elle a fait don de son corps à la science. Après la cérémonie, nous nous sommes réunis dans sa maison d'autrefois, où sa meilleure amie avait organisé un grand dîner pour tous les enfants et petits-enfants, dressant la table exactement comme ma grand-mère l'aurait fait. Avec une magnifique nappe damassée, de la porcelaine, des fleurs et des couverts en argent. Je me souviens que nous racontions tous des anecdotes sur elle, une véritable personnalité, et que nous avons ri et pleuré tant ; c'était d'une beauté saisissante, et j'aurais voulu m'envelopper dans cet instant pour l'éternité. J'ai décidé de dédier ma collection de fin d'études à ce moment, créant littéralement des vêtements à partir de l'ancienne nappe, de la garde-robe et des couverts de ma grand-mère. Je ne serais pas là où je suis aujourd'hui sans mon incroyable grand-mère.
Dites-nous un mot qui, selon vous, décrit votre grand-mère.
Forte


Shiyi, cadre en Chine
Shiyi, cadre en Chine
Quel est le prénom de votre mère ?
Jane Han
Quelle est son histoire ?
Ma mère n'a jamais été considérée comme une « bonne mère » selon la culture chinoise traditionnelle, ni même comme une « bonne femme », car elle a toujours fait des choix différents de ceux de ses pairs. Née dans les années 1970 dans un petit village, son histoire débute lorsqu'elle abandonne le « meilleur emploi » dans une entreprise publique, un poste dont tout le monde rêvait. Elle choisit plutôt de s'installer dans le sud de la Chine pour créer sa propre entreprise, défiant les objections de sa famille et de ses amis. Parallèlement, elle divorce sans hésitation et embrasse son rôle de « mère célibataire ».
Dans les années 2000, elle était perçue davantage comme une femme d'affaires accomplie que comme une « bonne mère » consacrant tout son temps à ses enfants.
Elle a divorcé à plusieurs reprises, et même en tant que mère célibataire, elle poursuit avec courage son propre amour, indifférente aux jugements et aux opinions de son entourage. Toujours une femme audacieuse, laborieuse et tenace, elle ne suit jamais aveuglément et s'exprime avec une franchise sans faille. C'est sa persévérance qui l'a façonnée en la femme qu'elle est aujourd'hui.
Jane Han
Quelle est son histoire ?
Ma mère n'a jamais été considérée comme une « bonne mère » selon la culture chinoise traditionnelle, ni même comme une « bonne femme », car elle a toujours fait des choix différents de ceux de ses pairs. Née dans les années 1970 dans un petit village, son histoire débute lorsqu'elle abandonne le « meilleur emploi » dans une entreprise publique, un poste dont tout le monde rêvait. Elle choisit plutôt de s'installer dans le sud de la Chine pour créer sa propre entreprise, défiant les objections de sa famille et de ses amis. Parallèlement, elle divorce sans hésitation et embrasse son rôle de « mère célibataire ».
Dans les années 2000, elle était perçue davantage comme une femme d'affaires accomplie que comme une « bonne mère » consacrant tout son temps à ses enfants.
Elle a divorcé à plusieurs reprises, et même en tant que mère célibataire, elle poursuit avec courage son propre amour, indifférente aux jugements et aux opinions de son entourage. Toujours une femme audacieuse, laborieuse et tenace, elle ne suit jamais aveuglément et s'exprime avec une franchise sans faille. C'est sa persévérance qui l'a façonnée en la femme qu'elle est aujourd'hui.
Quel est le prénom de votre mère ?
Jane Han
Quelle est son histoire ?
Ma mère n'a jamais été considérée comme une « bonne mère » selon la culture chinoise traditionnelle, ni même comme une « bonne femme », car elle a toujours fait des choix différents de ceux de ses pairs. Née dans les années 1970 dans un petit village, son histoire débute lorsqu'elle abandonne le « meilleur emploi » dans une entreprise publique, un poste dont tout le monde rêvait. Elle choisit plutôt de s'installer dans le sud de la Chine pour créer sa propre entreprise, défiant les objections de sa famille et de ses amis. Parallèlement, elle divorce sans hésitation et embrasse son rôle de « mère célibataire ».
Dans les années 2000, elle était perçue davantage comme une femme d'affaires accomplie que comme une « bonne mère » consacrant tout son temps à ses enfants.
Elle a divorcé à plusieurs reprises, et même en tant que mère célibataire, elle poursuit avec courage son propre amour, indifférente aux jugements et aux opinions de son entourage. Toujours une femme audacieuse, laborieuse et tenace, elle ne suit jamais aveuglément et s'exprime avec une franchise sans faille. C'est sa persévérance qui l'a façonnée en la femme qu'elle est aujourd'hui.
Jane Han
Quelle est son histoire ?
Ma mère n'a jamais été considérée comme une « bonne mère » selon la culture chinoise traditionnelle, ni même comme une « bonne femme », car elle a toujours fait des choix différents de ceux de ses pairs. Née dans les années 1970 dans un petit village, son histoire débute lorsqu'elle abandonne le « meilleur emploi » dans une entreprise publique, un poste dont tout le monde rêvait. Elle choisit plutôt de s'installer dans le sud de la Chine pour créer sa propre entreprise, défiant les objections de sa famille et de ses amis. Parallèlement, elle divorce sans hésitation et embrasse son rôle de « mère célibataire ».
Dans les années 2000, elle était perçue davantage comme une femme d'affaires accomplie que comme une « bonne mère » consacrant tout son temps à ses enfants.
Elle a divorcé à plusieurs reprises, et même en tant que mère célibataire, elle poursuit avec courage son propre amour, indifférente aux jugements et aux opinions de son entourage. Toujours une femme audacieuse, laborieuse et tenace, elle ne suit jamais aveuglément et s'exprime avec une franchise sans faille. C'est sa persévérance qui l'a façonnée en la femme qu'elle est aujourd'hui.
Qu'est-ce que votre mère vous a enseigné ?
Oser l'aventure, relever les défis, rester fidèle à soi-même et ne jamais se laisser limiter par quiconque ou quoi que ce soit.
En quoi votre mère est-elle une source d'inspiration pour vous et pour les autres ?
En ma mère, je perçois une force féminine puissante. Elle n'a peut-être pas toujours eu la certitude d'être une femme indépendante, mais cette énergie est indéniable. Femme déterminée et toujours empreinte de confiance, rien ne semble pouvoir arrêter ma mère, ce qui m'inspire et me motive sans cesse.
Dites-nous un mot pour décrire votre mère.
Extraordinaire
Oser l'aventure, relever les défis, rester fidèle à soi-même et ne jamais se laisser limiter par quiconque ou quoi que ce soit.
En quoi votre mère est-elle une source d'inspiration pour vous et pour les autres ?
En ma mère, je perçois une force féminine puissante. Elle n'a peut-être pas toujours eu la certitude d'être une femme indépendante, mais cette énergie est indéniable. Femme déterminée et toujours empreinte de confiance, rien ne semble pouvoir arrêter ma mère, ce qui m'inspire et me motive sans cesse.
Dites-nous un mot pour décrire votre mère.
Extraordinaire
Qu'est-ce que votre mère vous a enseigné ?
Oser l'aventure, relever les défis, rester fidèle à soi-même et ne jamais se laisser limiter par quiconque ou quoi que ce soit.
En quoi votre mère est-elle une source d'inspiration pour vous et pour les autres ?
En ma mère, je perçois une force féminine puissante. Elle n'a peut-être pas toujours eu la certitude d'être une femme indépendante, mais cette énergie est indéniable. Femme déterminée et toujours empreinte de confiance, rien ne semble pouvoir arrêter ma mère, ce qui m'inspire et me motive sans cesse.
Dites-nous un mot pour décrire votre mère.
Extraordinaire
Oser l'aventure, relever les défis, rester fidèle à soi-même et ne jamais se laisser limiter par quiconque ou quoi que ce soit.
En quoi votre mère est-elle une source d'inspiration pour vous et pour les autres ?
En ma mère, je perçois une force féminine puissante. Elle n'a peut-être pas toujours eu la certitude d'être une femme indépendante, mais cette énergie est indéniable. Femme déterminée et toujours empreinte de confiance, rien ne semble pouvoir arrêter ma mère, ce qui m'inspire et me motive sans cesse.
Dites-nous un mot pour décrire votre mère.
Extraordinaire


Ellie, Rédactrice
Ellie, Rédactrice
Quel est le prénom de votre mère ?
Lindsay Keswick
Quelle est son histoire ?
Ma mère est née dans l'Angleterre des années 1960. Enfant du milieu, entre un frère aîné et une sœur cadette, elle grandit dans une famille bienveillante, s'installant dans la campagne du Suffolk dès son plus jeune âge. Ils partaient en vacances en caravane, explorant le Royaume-Uni et l'Europe pendant les congés scolaires. J'adore entendre ces anecdotes, où ils jouaient et faisaient des paris. L'une de mes histoires préférées raconte comment mon grand-père perdit un jeu et dut courir nu autour de la caravane.
Dotée d'une intelligence naturelle, ma mère s'est investie avec rigueur à l'école avant d'intégrer l'université pour étudier le Droit et les Langues, choisissant le suédois et l'allemand. Lors de son année à l'étranger, elle vécut à Stockholm et Berlin — au cœur de la Guerre froide, alors que la capitale allemande était divisée entre l'Allemagne de l'Ouest et de l'Est. Nous avons visité Berlin durant notre jeunesse, et j'étais captivée par les récits de ma mère sur cette époque. Elle poursuivit ses études en faculté de droit après l'université, où elle rencontra mon père — leur plan de table les plaçait côte à côte.
Mes parents ont vécu et travaillé à Londres plusieurs années avant ma naissance, puis deux ans plus tard est née ma sœur. Ma mère, qui œuvrait dans de grands cabinets d'avocats, aspirait à une reconversion en entreprise. Elle décrocha son poste de rêve, Directrice Juridique d'une société du FTSE 250, et nous avons tous déménagé dans le Suffolk, à seulement 6 kilomètres de son enfance et de mes grands-parents. Mon père quitta son emploi pour devenir père au foyer, s'occupant de ma sœur et moi, permettant à ma mère de s'épanouir professionnellement — une configuration familiale rare au début des années 2000. Mes parents formaient une équipe exemplaire, toujours en communication, veillant à ce que ma sœur et moi bénéficiions du meilleur soutien et des opportunités les plus nobles. Nous partions en vacances familiales, parcourant l'Europe avec la caravane, à l'image des escapades de mon enfance maternelle. Ces instants précieux ont forgé des souvenirs inoubliables en famille.
Lindsay Keswick
Quelle est son histoire ?
Ma mère est née dans l'Angleterre des années 1960. Enfant du milieu, entre un frère aîné et une sœur cadette, elle grandit dans une famille bienveillante, s'installant dans la campagne du Suffolk dès son plus jeune âge. Ils partaient en vacances en caravane, explorant le Royaume-Uni et l'Europe pendant les congés scolaires. J'adore entendre ces anecdotes, où ils jouaient et faisaient des paris. L'une de mes histoires préférées raconte comment mon grand-père perdit un jeu et dut courir nu autour de la caravane.
Dotée d'une intelligence naturelle, ma mère s'est investie avec rigueur à l'école avant d'intégrer l'université pour étudier le Droit et les Langues, choisissant le suédois et l'allemand. Lors de son année à l'étranger, elle vécut à Stockholm et Berlin — au cœur de la Guerre froide, alors que la capitale allemande était divisée entre l'Allemagne de l'Ouest et de l'Est. Nous avons visité Berlin durant notre jeunesse, et j'étais captivée par les récits de ma mère sur cette époque. Elle poursuivit ses études en faculté de droit après l'université, où elle rencontra mon père — leur plan de table les plaçait côte à côte.
Mes parents ont vécu et travaillé à Londres plusieurs années avant ma naissance, puis deux ans plus tard est née ma sœur. Ma mère, qui œuvrait dans de grands cabinets d'avocats, aspirait à une reconversion en entreprise. Elle décrocha son poste de rêve, Directrice Juridique d'une société du FTSE 250, et nous avons tous déménagé dans le Suffolk, à seulement 6 kilomètres de son enfance et de mes grands-parents. Mon père quitta son emploi pour devenir père au foyer, s'occupant de ma sœur et moi, permettant à ma mère de s'épanouir professionnellement — une configuration familiale rare au début des années 2000. Mes parents formaient une équipe exemplaire, toujours en communication, veillant à ce que ma sœur et moi bénéficiions du meilleur soutien et des opportunités les plus nobles. Nous partions en vacances familiales, parcourant l'Europe avec la caravane, à l'image des escapades de mon enfance maternelle. Ces instants précieux ont forgé des souvenirs inoubliables en famille.
Quel est le prénom de votre mère ?
Lindsay Keswick
Quelle est son histoire ?
Ma mère est née dans l'Angleterre des années 1960. Enfant du milieu, entre un frère aîné et une sœur cadette, elle grandit dans une famille bienveillante, s'installant dans la campagne du Suffolk dès son plus jeune âge. Ils partaient en vacances en caravane, explorant le Royaume-Uni et l'Europe pendant les congés scolaires. J'adore entendre ces anecdotes, où ils jouaient et faisaient des paris. L'une de mes histoires préférées raconte comment mon grand-père perdit un jeu et dut courir nu autour de la caravane.
Dotée d'une intelligence naturelle, ma mère s'est investie avec rigueur à l'école avant d'intégrer l'université pour étudier le Droit et les Langues, choisissant le suédois et l'allemand. Lors de son année à l'étranger, elle vécut à Stockholm et Berlin — au cœur de la Guerre froide, alors que la capitale allemande était divisée entre l'Allemagne de l'Ouest et de l'Est. Nous avons visité Berlin durant notre jeunesse, et j'étais captivée par les récits de ma mère sur cette époque. Elle poursuivit ses études en faculté de droit après l'université, où elle rencontra mon père — leur plan de table les plaçait côte à côte.
Mes parents ont vécu et travaillé à Londres plusieurs années avant ma naissance, puis deux ans plus tard est née ma sœur. Ma mère, qui œuvrait dans de grands cabinets d'avocats, aspirait à une reconversion en entreprise. Elle décrocha son poste de rêve, Directrice Juridique d'une société du FTSE 250, et nous avons tous déménagé dans le Suffolk, à seulement 6 kilomètres de son enfance et de mes grands-parents. Mon père quitta son emploi pour devenir père au foyer, s'occupant de ma sœur et moi, permettant à ma mère de s'épanouir professionnellement — une configuration familiale rare au début des années 2000. Mes parents formaient une équipe exemplaire, toujours en communication, veillant à ce que ma sœur et moi bénéficiions du meilleur soutien et des opportunités les plus nobles. Nous partions en vacances familiales, parcourant l'Europe avec la caravane, à l'image des escapades de mon enfance maternelle. Ces instants précieux ont forgé des souvenirs inoubliables en famille.
Lindsay Keswick
Quelle est son histoire ?
Ma mère est née dans l'Angleterre des années 1960. Enfant du milieu, entre un frère aîné et une sœur cadette, elle grandit dans une famille bienveillante, s'installant dans la campagne du Suffolk dès son plus jeune âge. Ils partaient en vacances en caravane, explorant le Royaume-Uni et l'Europe pendant les congés scolaires. J'adore entendre ces anecdotes, où ils jouaient et faisaient des paris. L'une de mes histoires préférées raconte comment mon grand-père perdit un jeu et dut courir nu autour de la caravane.
Dotée d'une intelligence naturelle, ma mère s'est investie avec rigueur à l'école avant d'intégrer l'université pour étudier le Droit et les Langues, choisissant le suédois et l'allemand. Lors de son année à l'étranger, elle vécut à Stockholm et Berlin — au cœur de la Guerre froide, alors que la capitale allemande était divisée entre l'Allemagne de l'Ouest et de l'Est. Nous avons visité Berlin durant notre jeunesse, et j'étais captivée par les récits de ma mère sur cette époque. Elle poursuivit ses études en faculté de droit après l'université, où elle rencontra mon père — leur plan de table les plaçait côte à côte.
Mes parents ont vécu et travaillé à Londres plusieurs années avant ma naissance, puis deux ans plus tard est née ma sœur. Ma mère, qui œuvrait dans de grands cabinets d'avocats, aspirait à une reconversion en entreprise. Elle décrocha son poste de rêve, Directrice Juridique d'une société du FTSE 250, et nous avons tous déménagé dans le Suffolk, à seulement 6 kilomètres de son enfance et de mes grands-parents. Mon père quitta son emploi pour devenir père au foyer, s'occupant de ma sœur et moi, permettant à ma mère de s'épanouir professionnellement — une configuration familiale rare au début des années 2000. Mes parents formaient une équipe exemplaire, toujours en communication, veillant à ce que ma sœur et moi bénéficiions du meilleur soutien et des opportunités les plus nobles. Nous partions en vacances familiales, parcourant l'Europe avec la caravane, à l'image des escapades de mon enfance maternelle. Ces instants précieux ont forgé des souvenirs inoubliables en famille.
Malheureusement, cette bulle a éclaté en 2015 lorsque mon père a été diagnostiqué d'un cancer, puis est décédé la même année. Ma mère a fait preuve d'une force remarquable tout au long de cette épreuve, soutenant mon père, ma sœur et moi, tout en poursuivant son travail. C'est une véritable femme de pouvoir, une professionnelle accomplie qui équilibre avec brio vie familiale et carrière. Elle incarne aujourd'hui à la fois mon père et ma mère, assumant ces deux rôles avec une dévotion sans faille, étant la mère idéale que l'on puisse souhaiter.
Quelles leçons votre mère vous a-t-elle transmises ?
Oser, explorer et nourrir une curiosité insatiable pour le monde.
En quoi votre mère est-elle une source d'inspiration pour vous et pour les autres ?
Elle a traversé la tragédie de la perte de l'amour de sa vie, mon père, avec une grâce et une élégance inégalées, soutenant toujours son entourage avec bienveillance. Ma mère a bâti une carrière solide tout en étant la mère exemplaire que je connais, pour moi et ma sœur Beth. Lorsque je deviendrai mère, je souhaite lui ressembler : intrépide et indulgente, attentive et encourageante, aimante et toujours présente.
Dites-nous un mot qui, selon vous, décrit votre mère.
Courageuse
Quelles leçons votre mère vous a-t-elle transmises ?
Oser, explorer et nourrir une curiosité insatiable pour le monde.
En quoi votre mère est-elle une source d'inspiration pour vous et pour les autres ?
Elle a traversé la tragédie de la perte de l'amour de sa vie, mon père, avec une grâce et une élégance inégalées, soutenant toujours son entourage avec bienveillance. Ma mère a bâti une carrière solide tout en étant la mère exemplaire que je connais, pour moi et ma sœur Beth. Lorsque je deviendrai mère, je souhaite lui ressembler : intrépide et indulgente, attentive et encourageante, aimante et toujours présente.
Dites-nous un mot qui, selon vous, décrit votre mère.
Courageuse
Malheureusement, cette bulle a éclaté en 2015 lorsque mon père a été diagnostiqué d'un cancer, puis est décédé la même année. Ma mère a fait preuve d'une force remarquable tout au long de cette épreuve, soutenant mon père, ma sœur et moi, tout en poursuivant son travail. C'est une véritable femme de pouvoir, une professionnelle accomplie qui équilibre avec brio vie familiale et carrière. Elle incarne aujourd'hui à la fois mon père et ma mère, assumant ces deux rôles avec une dévotion sans faille, étant la mère idéale que l'on puisse souhaiter.
Quelles leçons votre mère vous a-t-elle transmises ?
Oser, explorer et nourrir une curiosité insatiable pour le monde.
En quoi votre mère est-elle une source d'inspiration pour vous et pour les autres ?
Elle a traversé la tragédie de la perte de l'amour de sa vie, mon père, avec une grâce et une élégance inégalées, soutenant toujours son entourage avec bienveillance. Ma mère a bâti une carrière solide tout en étant la mère exemplaire que je connais, pour moi et ma sœur Beth. Lorsque je deviendrai mère, je souhaite lui ressembler : intrépide et indulgente, attentive et encourageante, aimante et toujours présente.
Dites-nous un mot qui, selon vous, décrit votre mère.
Courageuse
Quelles leçons votre mère vous a-t-elle transmises ?
Oser, explorer et nourrir une curiosité insatiable pour le monde.
En quoi votre mère est-elle une source d'inspiration pour vous et pour les autres ?
Elle a traversé la tragédie de la perte de l'amour de sa vie, mon père, avec une grâce et une élégance inégalées, soutenant toujours son entourage avec bienveillance. Ma mère a bâti une carrière solide tout en étant la mère exemplaire que je connais, pour moi et ma sœur Beth. Lorsque je deviendrai mère, je souhaite lui ressembler : intrépide et indulgente, attentive et encourageante, aimante et toujours présente.
Dites-nous un mot qui, selon vous, décrit votre mère.
Courageuse